Cherkaoui était aussi connu sous le nom de "Moule H'mam" (Le maitre des pigeons). Il est d´origine de la Kasba Tadla et plus précisément de la ville Abi Jaad.
Son père Mohamed ben ElHaj Cherkaoui (le nom vient du saint Sidi Bou Aabid Cherki) s´est enfuit d´Abi Jaad à cause da le famine, la pauvreté et la colonisation par les français. Une autre cause l´avait obligé à quitter la ville, il avait peur d´être tué pour vengeance par une autre famille. Il s´est rendu à marrakech, où il a travaillé comme sellier. Sa mort, un peu de temps après, a obligé la famille de revivre la pauvreté. Depuis son enfance, le jeune Cherkaoui visitait régulièrement Jemaa El Fna. Il a succombé au charme de la place avec les Hlaiqis. Il jouissait de la liberté et l´indépendance avec lesquelles les Hlaiqis travaillaient. Il n´avait meme pas 10 ans lorsque´il a décidé de partir en voyage avec des amis pour apprendre le métier de Halqa. Après 4 années, il est revenu mûri à marrakech. Il était devenu un très grand maitre de construction de phrases. Sa place à Jemaa El Fna était devant la mosquée de Charbouche en face de café france. Il commençait toujours sa présentation avec des poèmes d´Abderrahman El Majdoube, le surnommé "Cheich des foux". Alors il racontait en forme de rime des histoires légendaires et des contes de fées en jouant sur son Daadouu, un grand tambour, similaire à la Darbouka.
Un petit exemple de sa Halqa:
"Je te conseille, mange la viande de tête (mouton) et jette les os dans le puits. Joue et ris avec les gens. Fais attention à ce que tu dis. ne t´inquiète pas et ne te creuse pas la tête. Ne te chagrine pas. La vie n´est pas éternelle. Ses paroles séduisent le public, qui est très généreux avec lui. Pour faire de sa Halqa quelque chose de particulier, il empruntait divers ustensiles comme le tambour…C´ était avant qu´il débutait à travailler avec les pigeons, qui sont devenus l´élément le plus important de sa Halqa. Cela lui donné le surnom: "Maître des pigeons".
Les pigeons étaient bien dréssés et ils obéissaient à ses ordres. Par exemple, s´il leur ordonna de voler sur le toit de poste de police, ils suivent ses instructions. Quelques minutes plus tard et après avoir fumé son narguilé, il leur faisait signe de le rejoindre.
Plus tard. il a travaillé avec un assistant aveugle, El Maati Bel Faida, qui le déchargeait un peu du travail. Les deux vivaient dans Derb Kesdir dans le Mokfe, l´un des anciens quartiers de la ville.
Bien qu´il a offert la joie et le rire à plusieurs gens, il est mort succombé à sa maladie dans la pauvreté.
Son père Mohamed ben ElHaj Cherkaoui (le nom vient du saint Sidi Bou Aabid Cherki) s´est enfuit d´Abi Jaad à cause da le famine, la pauvreté et la colonisation par les français. Une autre cause l´avait obligé à quitter la ville, il avait peur d´être tué pour vengeance par une autre famille. Il s´est rendu à marrakech, où il a travaillé comme sellier. Sa mort, un peu de temps après, a obligé la famille de revivre la pauvreté. Depuis son enfance, le jeune Cherkaoui visitait régulièrement Jemaa El Fna. Il a succombé au charme de la place avec les Hlaiqis. Il jouissait de la liberté et l´indépendance avec lesquelles les Hlaiqis travaillaient. Il n´avait meme pas 10 ans lorsque´il a décidé de partir en voyage avec des amis pour apprendre le métier de Halqa. Après 4 années, il est revenu mûri à marrakech. Il était devenu un très grand maitre de construction de phrases. Sa place à Jemaa El Fna était devant la mosquée de Charbouche en face de café france. Il commençait toujours sa présentation avec des poèmes d´Abderrahman El Majdoube, le surnommé "Cheich des foux". Alors il racontait en forme de rime des histoires légendaires et des contes de fées en jouant sur son Daadouu, un grand tambour, similaire à la Darbouka.
Un petit exemple de sa Halqa:
"Je te conseille, mange la viande de tête (mouton) et jette les os dans le puits. Joue et ris avec les gens. Fais attention à ce que tu dis. ne t´inquiète pas et ne te creuse pas la tête. Ne te chagrine pas. La vie n´est pas éternelle. Ses paroles séduisent le public, qui est très généreux avec lui. Pour faire de sa Halqa quelque chose de particulier, il empruntait divers ustensiles comme le tambour…C´ était avant qu´il débutait à travailler avec les pigeons, qui sont devenus l´élément le plus important de sa Halqa. Cela lui donné le surnom: "Maître des pigeons".
Les pigeons étaient bien dréssés et ils obéissaient à ses ordres. Par exemple, s´il leur ordonna de voler sur le toit de poste de police, ils suivent ses instructions. Quelques minutes plus tard et après avoir fumé son narguilé, il leur faisait signe de le rejoindre.
Plus tard. il a travaillé avec un assistant aveugle, El Maati Bel Faida, qui le déchargeait un peu du travail. Les deux vivaient dans Derb Kesdir dans le Mokfe, l´un des anciens quartiers de la ville.
Bien qu´il a offert la joie et le rire à plusieurs gens, il est mort succombé à sa maladie dans la pauvreté.